Dans son rapport mensuel à l’Inspecteur d’Académie, le proviseur du Lycée de Nantes, alerte sur la pénurie d’enseignants dont souffre l’établissement en ce temps de guerre.
Là où il faudrait 59 professeurs, le service « doit être fait par 28 titulaires ou délégués, dont des femmes, à qui viennent en aide 11 administrateurs, professeurs-adjoints ou mobilisés » et « trois de ces 28 professeurs ont été absents ce mois-ci ».
Se reporter à la chronique de Jean Bourgeon du 6 juin 1916