Le général Guillaumat, commandant de la 33e D.I., écrit à son épouse le 5 décembre :
« J’ai été visiter l’ambulance Rouvillois. Notre unique chien sanitaire est merveilleux sur les blessés fictifs en temps de paix ; mais il fout le camp dès qu’il aperçoit un vrai blessé. Il a horreur du sang ! »