Dans son journal, à la date du 17 avril 1915, Léon Jost écrit :
« Je viens de causer avec des soldats d’une autre compagnie qui se trouvaient la semaine dernière dans une tranchée très rapprochée des Boches. Ils ont entendu ceux-ci leur crier : « A Nantes ! A Nantes ! » – et même, ce qui est rigoureusement authentique – « A Trentemoult ! »