Le Nantais Maurice Digo note dans ses Carnets ce jour :
« L’après-midi, demande de volontaires pour l’exécution d’un sergent-major du 160. Comme personne ne se présente, on tire au sort parmi les « punis » de prison. J’apprends que ce pauvre type n’est pas coupable, qu’il était régulièrement en corvée, mais que le commandement a exigé cette exécution « pour l’exemple ». »