Dans Le Populaire, Vérax commente la mort de Raspoutine assassiné par des nationalistes russes, dans la nuit du 29 au 30 décembre 1916 :
« Ce moine amoureux était en même temps un ambitieux. Il profitait de son pouvoir de séduction pour exercer son influence dans le domaine de la politique, et le gouvernement russe avait à compter avec lui…
Raspoutine
Raspoutine était plus fort que tout ; ce paysan madré, sans aucune instruction, tenait en échec les députés, les ministres, les chefs militaires.
Sa disparition est un bon débarras pour la Russie. Espérons que nous n’aurons jamais de Raspoutine ! »