Maurice Digo note dans ses Carnets :
« Mauvaises nouvelles de Nantes. L’épidémie de grippe ( ?) ferait des ravages importants que la pénurie des services médicaux menace d’aggraver encore d’avantage. Ma jeune nièce Jeannette que je ne connais pas encore, vient de mourir en pleine santé.
La lettre de l’épouse, pour la première fois, laisse transpirer le cafard, l’inquiétude, un dégoût profond pour l’inconscience et l’égoïsme de l’Arrière. J’écris sans conviction ma lettre quotidienne d’encouragement ».