Le proviseur du Lycée de Nantes, Jean Barou écrit dans son rapport mensuel :
« Le mois de janvier a été marqué par un mouvement d’effectifs assez considérable. D‘abord un assez grand nombre d’élèves nous ont quittés pour suivre leurs parents réfugiés à Nantes pendant la guerre. Mais surtout les absences journalières ont été très nombreuses, l’humidité persistante ayant déterminé en grande quantité des rhumes, des bronchites, des angines, des douleurs rhumatismales. Ces indispositions n’ont d’ailleurs pas eu de gravité, ni même de longue durée. Quelques professeurs ont été arrêtés. »