« La proximité des examens a redoublé le zèle des élèves des hautes classes. Lors de la réunion générale du 20 juin dans laquelle ont été arrêtés les prix d’excellence, j’ai recommandé à Messieurs les fonctionnaires de maintenir et de stimuler le travail jusqu’au dernier jour de l’année scolaire, trop raccourcie déjà au gré des parents et de ne pas donner la moindre prise aux critiques en laissant supposer que « l’on ne travaille plus » à partir du 1er juillet. Les élèves médiocres sont en effet tentés de répandre ce bruit. J’ai recommandé aussi de redoubler de vigilance au point de vue tenue et discipline ».
Rapport du proviseur, 1er juillet 1913