Sur le front de Champagne, l’offensive se prépare matériellement mais aussi mentalement par le conditionnement des soldats.
Le grenadier Jacques Vaché écrit à son père :
« Nous sommes sans doute à la veille d’un grand choc – Nous espérons tous que ce sera un digne anniversaire de la bataille de la Marne – En tous les cas ce sera une lutte comme on en compte peu dans l’histoire – car de part et d’autre on sent que ce sera là un des coups définitifs, sinon le coup définitif. »