Depuis le début de la guerre, la chasse est fermée et le gibier pullule.
Aussi, le gouvernement : « pour assurer de manière efficace la protection des récoltes contre les animaux nuisibles… a décidé de délivrer des autorisations de destruction.. » (Le Phare, 2 septembre).
Ces autorisations sont subordonnées à un permis assorti d’une taxe.
Toutefois : « Les permissionnaires du front seront dispensés de cette formalité ».
Ainsi, ils ne perdront pas la main.