Aux nombreuse « œuvres » et « journées » mises en place depuis 1914 pour venir en aide aux poilus et fortifier le lien entre le front et l’arrière, l’année 1917 apporte son lot de nouveautés.
La promiscuité de la vie dans les tranchées favorise le développement de la tuberculose, aussi a-t-on mis en place une « Journée des tuberculeux de la guerre ». Organisée le 4 février dans tout le pays, elle a été reportée au 11 février à Nantes et les journaux battent le rappel :
« Nous faisons un pressant appel à la générosité de nos concitoyens en faveur de cette œuvre si humanitaire et si patriotique et nous sommes persuadés que le produit de la quête sera digne de la population nantaise ».