La prolongation de la guerre et les difficultés qu’elle entraîne exacerbent les sentiments, les rancœurs, l’incompréhension.
Maurice Digo et son frère terminent leur permission à Nantes.
Le premier note dans son Carnet : « Et maintenant il faut partir. Seule l’épouse et le père nous ont aidés et compris. Nous emportons une haine farouche pour cet « ARRIERE » notre seul ennemi.
Ce soir, bien avant l’heure du train, nous avons brusqué le départ ».