Censure oblige, la grippe espagnole ne contamine pas la une des journaux.
Malgré ses terribles ravages, on la cache sous les couvertures, sauf… en dernière page du Phare, celle qui est réservée aux publicités (il faut bien vivre !).
Mais on se garde bien de préciser quelle épidémie se dissimule sous cette silhouette raspoutinienne.
Contrairement à ce que dit le texte, ce ne sont pas les enfants les principales victimes de cette grippe mais les jeunes adultes. Que font les censeurs ?