Le retentissement de la bataille de Verdun y attire journalistes, dignitaires des pays alliés, curieux et parlementaires désireux de s’informer… ou de récupérer une part du prestige des combattants.
Le général Guillaumat commandant en chef de la Deuxième armée qui contrôle le secteur s’en agace.
Il écrit à son épouse :
« C’est décidément la foire du monde, ce Verdun. Je ne comprends pas qu’on donne tant d’autorisations pour s’y rendre, et si notre prestige y gagne à ce que nous montrions des ruines, et notre impuissance à les éviter ».